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Firefox, la lente descente aux enfers

Firefox, la lente descente aux enfersBon accrochez-vous, c'est la descente aux enfers pour notre cher Firefox, le navigateur libre et ouvert de la Fondation Mozilla ! Les données de novembre 2023 viennent de tomber, et c'est carrément la cata. On parle de seulement 3,23 % de part de marché. 3,23 % ! Ça se rapproche à toute vitesse des 2 % fatidiques, en dessous desquels même les sites Web gouvernementaux ne le prennent plus au sérieux. Si ça continue, c'est la fin !

On se souvient du bon vieux temps, à la fin de 2009, où Firefox détrônait Internet Explorer avec fierté, avec plus de 32 % de parts de marché à l'échelle mondiale. Mais depuis, c'est la dégringolade. L'arrivée de Google Chrome a été comme une météorite pour notre cher renard de feu, qui n'a pas su rester au top. Chrome est passé de 1,37 % en janvier 2009 à un pic de 66,34 % en septembre 2020. Ça, c'est une claque.

Mais attendez, le drame continue. Les données montrent que Firefox est désormais talonné par Opera, oui, Opera, avec 3,17 % de part de marché. Et ça, c'est humiliant. D'autant plus que Microsoft Edge, qui est aussi basé sur le projet Chromium à l'origine de Chrome, le suit de près avec 5,5 %.

Pire encore, il y a des rumeurs selon lesquelles Firefox serait sur le point de se faire larguer par les gouvernements américain et britannique. L'U.S. Web Design System (USWDS), qui guide le développement des sites Web gouvernementaux américains, semble prêt à l'abandonner si les parts de marché de Firefox ne remontent pas. Les nouvelles normes indiquent clairement qu'ils supportent officiellement les navigateurs au-dessus de 2 % d'utilisation. Avec la chute libre de Firefox, ça sent pas bon.

Chrome, Firefox, et Safari sont clairement les élus actuels. Le drame de Firefox est comme un film à suspense en plusieurs actes. Rappelle-toi du temps glorieux de 2009, où Firefox faisait plier le tout-puissant Internet Explorer avec ses modules complémentaires, sa sécurité à toute épreuve, et sa rapidité décoiffante. On en est loin aujourd'hui : on dirait bien que notre cher renard de feu est en train de sombrer dans les abysses du marché des navigateurs.

On atteint le point critique où certains sites Web tournent les talons et vont tomber Firefox comme une vieille chaussette. Alors voilà, mon pote, c'est la crise pour notre navigateur préféré. Espérons qu'il y ait un miracle, sinon on risque de devoir dire adieu à notre renard de feu. Les libristes sont sceptiques, et sérieusement, y a-t-il une raison valable de croire en un miracle ? Pas sûr. Rendez-vous l'année prochaine pour voir si le cauchemar continue. 😏

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